
Cette œuvre explore la “growth culture” – cette culture du développement, de l’apprentissage continu et de la résilience – à travers une série de sourires. Chaque sourire, qu’il soit discret, lumineux, retenu ou éclatant, reflète un moment de vie, une transition, une épreuve ou une réussite. Le sourire devient ici langage, trace de transformation, empreinte d’un état d’esprit tourné vers l’évolution.
L’œuvre questionne la capacité humaine à accueillir le changement avec bienveillance, à transformer l’inconfort en opportunité, et à puiser dans ses ressources intérieures pour grandir. Le sourire y incarne l’intime dialogue entre vulnérabilité et force, entre doute et confiance, entre chute et élévation. En ce sens, « Sourire ou survivre » n’est pas seulement une œuvre à contempler, mais une œuvre qui nous interroge sur notre propre posture face au changement.